Retrouvez ici une publication des œuvres de l’exposition

D’abord peintre, puis sculpteur, urbaniste, architecte, théoricien de l’art, Nicolas Schöffer a été un des artistes les plus importants de la seconde moitié du XXème siècle. Se consacrant à la recherche fondamentale en art, il crée surtout à l’échelle de la ville, pour redonner le plaisir de vivre. Sa Tour spatiodynamique et cybernétique élevée à Liège en 1961 est aujourd’hui reconnue comme un monument historique.

Une exposition sans objets, ou presque…
Père de l’Art Cybernétique, donc de l’interactivité comme on dit maintenant, Nicolas Schöffer intègre les notions de temps et d’espace, de mouvement, de son et d’énergie dans ses créations. Pour donner à voir le temps, la sculpture entre en mouvement, produit des sons et de la lumière, selon des variables aléatoires. Grâce à des capteurs, la sculpture réagit à des informations ambiantes et devient alors cybernétique, en symbiose avec son environnement. L’œuvre ne s’impose pas, elle se révèle à qui veut la découvrir et joue avec celui qui entre dans son jeu.

 

L’exposition a été présentée du 19 février au 30 mars 2002 à la galerie Guy Chatiliez de la ville de Tourcoing.

A l’initiative de l’espace 36, en 2001 puis ensuite en 2003, les structures culturelles de l’Audomarois ont travaillées ensemble pour proposer au public une programmation autour des thèmes de la Hongrie puis de l’Algérie, en éditant des plaquettes d’informations communes, dans une même volonté de mélanges des genres et de mixages des publics. Avec la Bibliothèque d’Agglomération de Saint-Omer, le Centre Culturel d’Agglomération Daniel Balavoine et le Centre Culturel la Comédie de l’Aa.

Retrouvez le programme :


Magyart, Saison hongroise en France (juin – décembre 2001), est organisée en France par le ministère des  Affaires Etrangères et le ministère de la Culture et de la Communication, et mise en œuvre par l’Association française d’action artistique avec le soutien de l’Institut français de Budapest, en Hongrie par le ministère de la Culture et du Patrimoine national, et par Hungarofest avec le soutien de l’Institut hongrois de Paris.